Pour le droit de vivre sans peur !
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Nous, les femmes, ne voulons plus être des titres et des figures dans le panorama du pays, les multiples violences contre les femmes, les filles et les adolescentes remplissent les journaux télévisés, la radio et les journaux, des milliers, oui, des milliers de plaintes pour harcèlement, abus, violence physique, sexuelle, psychologique et le plus terrifiant de tous, les fémicides. Ceci face à la sourde oreille et à la complicité d'un état et d'une société patriarcale qui dévalorise nos vies et justifie nos morts en validant les raisons supposées des agresseurs féminicides.
En 2022, la vie, les rêves et les espoirs de plus de 614 femmes avaient été arrachés, et jusqu'à présent cette année, plus de 32 femmes, dont beaucoup sont des mères chefs de famille, des filles, des travailleuses, qui crient et demandent justice, à travers nous, celles d'entre nous qui restent, celles qui élèvent et élèveront la voix, en exigeant que l'État et toutes ses institutions nous garantissent le droit de vivre sans peur.
Nous exigeons que la justice et la police ne minimisent pas nos dénonciations, qu'elles nous re-victimisent et nous mettent encore plus en danger face à nos agresseurs. Nous exigeons des politiques publiques efficaces qui impliquent l'ensemble de la société, dans le rejet de toute expression de violence sexiste ; nous ne voulons pas continuer à compter nos propres morts.
Nous demandons que le district et le gouvernement national :
1. que l'urgence nationale pour les féminicides soit déclarée, reconnaissant la crise humanitaire et des droits de l'homme que traversent les femmes, les filles, les adolescents et les diversités sexuelles et de genre.
2. que la mise en œuvre d'une perspective de genre dans les politiques de sécurité publique soit respectée.
3. La création d'un organisme national doté de ressources humaines et budgétaires pour prévenir, traiter, enquêter et punir la violence fondée sur le genre, en coordination avec les organisations sociales de femmes et de diversités sexuelles et de genre, le monde universitaire et les institutions de l'État qui articulent les pouvoirs judiciaire, législatif et exécutif.
4. La création d'un système public de suivi des mesures de protection des femmes et des diversités sexuelles et de genre.
5. La mise en œuvre de protocoles dans la recherche des femmes disparues.
PARCE QUE NOUS VOULONS ÊTRE EN VIE
SI ELLE TOUCHE L'UN D'ENTRE NOUS, NOUS RÉAGISSONS TOUS